Dans « l’ADN » des corps de direction de la FPH

La mobilité des cadres de direction de la fonction publique hospitalière est l’un des éléments de leur spécificité par rapport aux autres professionnels des établissements. C’est ce qui fonde la nécessité d’une gestion nationale.

À titre d’exemple, pour les DH, le CNG a enregistré en 2020 82 mouvements sur des emplois fonctionnels et de chefs d’établissements DH, et 217 mouvements sur des emplois d’adjoints

Pour les D3S, se sont sur la même année 74 mouvements de chefs d’établissement et 40 pour les adjoints.

Pour les DS ce sont 38 mobilités, hors les entrées dans le corps.

La mobilité, un facteur d’évolution

Pour les établissements, la mobilité permet de pourvoir aux besoins de renouvellement des équipes de direction, elle permet de faire évoluer les organisations et de diffuser les innovations.

Pour les collègues, qu’ils visent un parcours généraliste ou spécialisé, un parcours d’adjoint ou de chef, la mobilité est un élément essentiel de l’expérience et de la formation tout au long de la carrière.

C’est également un principe statutaire puisqu’elle constitue une condition de promotion au 2ème grade de chaque corps et souvent un critère pour l’accès aux emplois supérieurs.

La mobilité pose aussi de multiples questions pratiques auxquelles nous apportons dans ce dossier quelques réponses de base. N’hésitez pas à contacter la permanence CHFO.